Où vivent les femmes aux plus gros seins ?
Vous pensiez que la taille des poitrines était une affaire individuelle ? Détrompez-vous ! Selon une étude mondiale, les bonnets les plus généreux ne sont pas répartis au hasard sur la planète.
ACTU
Ramon Nietto
10/20/2025


Vous pensiez que la taille des poitrines était une affaire individuelle ? Détrompez-vous ! Selon une étude mondiale surprenante, les bonnets les plus généreux ne sont pas répartis au hasard sur la planète. Poitrine en D, E… voire plus : certains pays cumulent les mensurations impressionnantes, pendant que d’autres affichent des moyennes beaucoup plus modestes. Alors, où vivent les femmes aux seins les plus imposants ? La réponse pourrait bien vous surprendre.
En tête du classement : les pays nordiques et anglo-saxons. Norvège, Islande, États-Unis, Royaume-Uni… Ici, le bonnet D est la norme, voire E dans certains cas. Ces poitrines opulentes sont principalement liées à un IMC plus élevé. Traduction : un corps plus grand, plus massif, avec davantage de tissu adipeux – notamment au niveau de la poitrine. Le froid, le mode de vie sédentaire et une alimentation riche y jouent aussi un rôle.
Mais le classement réserve d’autres surprises. Le Luxembourg, le Canada ou encore la Russie se positionnent aussi très haut, avec des moyennes dépassant largement le bonnet C. À l’inverse, en Asie du Sud-Est et en Afrique centrale, les femmes arborent en majorité des bonnets A ou B. Bangladesh, Vietnam, Cambodge, Nigeria… Dans ces pays, la taille moyenne de soutien-gorge reflète des morphologies plus fines, des tailles plus petites et un IMC plus bas. Le climat chaud pourrait également freiner l’accumulation de masse grasse.
Et la France dans tout ça ? Elle se situe dans la moyenne haute de l’Europe, avec des bonnets B à C. Ni la plus pulpeuse, ni la plus menue, l’Hexagone offre un profil équilibré, typique de l’Europe occidentale.
Mais attention : ces chiffres sont à prendre avec une pincette en dentelle ! De nombreuses femmes portent des soutiens-gorge mal ajustés. Taille trop grande, bonnet trop petit, bretelles mal réglées… Résultat : les données peuvent parfois être faussées.
Ce classement, mi-scientifique mi-insolite, nous rappelle surtout une chose : il n’existe pas de "taille idéale". Des seins menus aux poitrines abondantes, chaque morphologie raconte une histoire, un héritage génétique et culturel. Et qu’importe le pays, l’essentiel reste de se sentir bien dans son corps… et dans son soutien-gorge !



